Bienveillance
Nous croyons en l'importance de favoriser un environnement collaboratif et solidaire au sein d’EcoTree et avec nos partenaires. Plutôt que de nous concentrer sur les défauts, nous choisissons de nous encourager mutuellement, de partager nos forces et de grandir ensemble par des efforts collectifs.
Humilité
La nature nous enseigne. Travailler à sa restauration et à sa protection nous rappelle chaque jour que nous ne sommes que la partie d'un tout qui nous dépasse. Peu importe le degré de technique que nous pouvons développer dans nos méthodes de travail et de comptabilisation carbone, nous restons ancrés dans la conviction que la nature montre la voie ; nous la suivons avec respect et attention.
Exigence
Nous sommes honorés de la confiance que nos clients nous accordent. Cette confiance renforce notre sens profond des responsabilités. Chaque projet que nous entreprenons est guidé par l'intégrité, la transparence et l'engagement à créer de la valeur à long terme pour les personnes et pour la planète Terre.
Forêts plantées et gérées, zones humides restaurées et biodiversité préservée.
Dans le monde entier, des hommes et des femmes soutiennent nos efforts de restauration des écosystèmes.
Les entreprises travaillent avec nous pour agir concrètement pour le climat et atteindre leurs objectifs ESG.
Nous avons développé une expertise commerciale et technique en sylviculture à travers l'Europe.
Située en France, au Danemark et en Allemagne, notre équipe est composée de forestiers, de développeurs de projets, de sourceurs, de vendeurs et de communicants qui se consacrent à la restauration des écosystèmes européens en menant des actions concrètes et tangibles en faveur du climat.
La finance peut agir de manière déterminante pour le climat en orientant les flux de capitaux vers des activités compatibles avec une économie bas carbone, soutenant ainsi la transition énergétique par le financement d’énergies renouvelables, l’efficacité énergétique, la mobilité durable ou encore les Solutions fondées sur la Nature : reboisement, afforestation, protection des sols, des zones humides, de la biodiversité. En parallèle, elle peut limiter voire exclure le financement de secteurs fortement émetteurs, en particulier les énergies fossiles, et inciter les entreprises à publier leurs émissions et à adopter des plans de transition alignés sur l’Accord de Paris.
De nouveaux instruments financiers permettent d’accélérer ce mouvement : obligations vertes, fonds à impact, financements liés à la performance climatique ou crédits carbone certifiés. Les investisseurs et assureurs intègrent également les risques climatiques, qu’ils soient physiques (incendies, inondations, sécheresses) ou liés à la transition (perte de valeur d’actifs fossiles), afin de mieux protéger les portefeuilles.
Enfin, la finance agit aussi par l’influence actionnariale : les grands investisseurs peuvent engager un dialogue avec les entreprises, voter en assemblée générale et rejoindre des coalitions internationales pour exiger des stratégies crédibles de décarbonation. Elle contribue également à l’adaptation dans les territoires les plus vulnérables, via des mécanismes d’assurance climatique ou des financements spécifiques.
En somme, la finance peut être un puissant levier de transformation : en finançant les solutions, en réduisant les soutiens aux modèles non durables et en intégrant le climat au cœur de ses décisions, elle participe activement à l’atténuation et à l’adaptation au changement climatique.
Les entreprises disposent de nombreux leviers pour réduire leur impact climatique et contribuer à la transition. La première étape consiste à mesurer leurs émissions de gaz à effet de serre (scopes 1, 2 et 3), afin d’identifier les postes les plus émetteurs. Sur cette base, elles peuvent élaborer une stratégie de réduction alignée sur l’Accord de Paris, en fixant des objectifs clairs et mesurables (par exemple via le référentiel SBTi).
Concrètement, cela passe par l’efficacité énergétique, la sobriété dans les usages, la décarbonation des approvisionnements (choix de fournisseurs responsables, énergies renouvelables, matières premières bas carbone) et l’adaptation des produits et services pour réduire leur empreinte. Les entreprises peuvent aussi repenser la mobilité (télétravail, flottes électriques, logistique optimisée) et engager leurs salariés dans des démarches de sensibilisation.
Au-delà de leurs propres émissions, elles peuvent soutenir des projets contribuant à l’atténuation et à l’adaptation, notamment via le financement de Solutions fondées sur la Nature (forêts, sols, biodiversité) ou l’achat de crédits carbone certifiés. Enfin, la transparence et le dialogue avec les parties prenantes — clients, investisseurs, partenaires — renforcent la crédibilité de l’action climatique.
En résumé, agir pour le climat en entreprise, c’est combiner réduction directe des émissions, innovation et contribution positive aux écosystèmes.
Les entreprises sont à la fois contributrices au changement climatique et actrices potentielles de la transition. Par leurs activités, elles émettent des gaz à effet de serre : directement (consommation d’énergie, production industrielle, déplacements) ou indirectement (chaînes d’approvisionnement, utilisation et fin de vie des produits). On estime que la majorité des émissions mondiales proviennent de l’activité économique, ce qui place les entreprises au cœur du défi climatique.
Mais elles disposent aussi de leviers d’action puissants. En adoptant des stratégies de réduction des émissions alignées sur l’Accord de Paris, les entreprises peuvent transformer leurs modèles : efficacité énergétique, choix de matières premières bas carbone, développement de produits et services durables. Elles influencent également leurs parties prenantes : clients, fournisseurs, salariés et investisseurs.
Le climat représente par ailleurs un risque pour les entreprises. Les événements extrêmes (incendies, sécheresses, inondations) peuvent affecter leurs sites et leurs chaînes logistiques. Les réglementations climatiques, la hausse du prix du carbone ou l’évolution des attentes des consommateurs constituent aussi des risques de transition.
Ainsi, le lien entre entreprise et climat est double : les entreprises contribuent au problème mais elles sont aussi une partie essentielle de la solution, par leur capacité à innover, investir et transformer l’économie.
Si la lutte contre le changement climatique relève en théorie de la responsabilité première des États, les faits montrent que les gouvernements peinent à prendre des mesures à la hauteur de l’urgence. Les négociations internationales avancent lentement, les intérêts nationaux divergent et certaines puissances hésitent à s’imposer des contraintes qui pourraient peser sur leur compétitivité ou leur croissance. En pratique, cela conduit souvent à des engagements insuffisants ou à des politiques publiques incomplètes.
Dans ce contexte, les entreprises se retrouvent en première ligne. Parce qu’elles représentent une grande partie des émissions mondiales, elles disposent d’un pouvoir d’action immédiat et concret : transformer leurs chaînes de valeur, réduire leurs consommations d’énergie, innover pour proposer des solutions bas carbone. Elles sont aussi soumises à la pression directe de leurs clients, investisseurs et salariés, qui attendent d’elles des engagements clairs et crédibles là où les États tardent à agir.
Ainsi, même si la responsabilité devrait être partagée, les entreprises deviennent aujourd’hui des acteurs incontournables de la transition. Leur capacité à agir rapidement, à l’échelle internationale et au-delà des frontières nationales, en fait des leviers essentiels pour compenser l’inaction relative des gouvernements et accélérer la lutte contre le dérèglement climatique.
Contactez notre équipe pour découvrir comment nous pouvons vous aider à atteindre vos objectifs en matière de développement durable (par exemple, SBTi, Net Zero ou CSRD) et à créer un impact environnemental durable pour <strong style="font-weight:normal;">agir sur le climat</strong>.